Depuis le retour d'Addis-Abbeba, rien ne bouge sauf l'explosion des pillages des bois de rose (business évalué à $120M, juste sur les premiers mois de l'année 2009), les gesticulations des ces Sieurs à se faire appeler "Monsieur le Président" et pire toutes les gesticulations pour garder portefeuilles ministériels et 4x4.
Ainsi je persiste et signe: il faut que les bailleurs de fond: Union Européenne, Banque Mondiale et les USA continuent à maintenir la pression; mieux il faudrait qu'ils brandissent la menace de geler les avoirs à l'étranger des Andry Rajoelina et consort .
Mon 'post du 9 septembre 2009 ' est toujours d'actualité, je persiste et signe que c'est la seule solution pour faire appliquer les accords de Maputo et d'Addis-Abbeba!
Solofo